Limerence is the private blog of Clarice Mahon. Huge part of the blogposts evolves around how she feels about her boyfriend and how their relationship changes.
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Limerence is the private blog of Clarice Mahon. Huge part of the blogposts evolves around how she feels about her boyfriend and how their relationship changes.
Writer, producer, co-director: MARIANNA SHEK Interactive design and co-director: JUDY YEH Programmer: JAMES WARR Cinematographer: SEN WONG Songwriter/ singer: DAVID HETHORN Production designer: LIZ TYSON-DONELLY Makeup Artist: RUBY SPARK Sound recordist: DUC DUONG
FLY is an artist, poet, singer, and media figure. He is also a housefly. This is his life.
(Source: Author's description from his website)
Backtrack tries to recover memories from a girl who have been in a car crash. As she walks down memory lane looking at photos and visiting schools, she starts to remember some of her past.
Désirs a été conçu autour d'un poème anonyme qui aurait été trouvé en 1692 dans une église de Baltimore.
Au delà de sa légende, ce texte sans âge porte une sérénité que je voulais distiller. J'ai souhaité le donner à voir et à saisir, mieux peut-être, que par la page imprimée sur papier...
L'hypertexte, par sa capacité à relier et à occuper l'espace, peut nous offrir des instants de lecture aux plaisirs nouveaux…
Des instants qu'on pourrait dire contempla[c]tifs, à la manière des haïkus.
(Source: Luc Dall'Armellina, juin 1998)
work in simple html
Ce dispositif affiche des textes selon le mode des journaux lumineux de l'espace r(el)ationnel urbain. Il pourrait être vidéo-projeté dans une white box de Lausanne ou lors d'une white night édition in Paris, sur un white boat in Venice, sur un white cloud in Papeete et, pourquoi pas, sur la white house of Washington (contemporary art vision).
Une sélection de textes pourrait faire l'objet d'un affichage dans des formats raisins, sucettes ou autres mensurations si affinités, dans les rues de Québec, de Nouméa et de Bruxelles (graphic design vision)... mis sa destinée passe idéalement par un affichage en lieu public urbain : il utilise les journaux lumineux existants, à l'extérieur, dans les parcs, sur les larges trottoirs et les places ; en intérieur dans les halls de gares, aéroports, ports maritimes, gares routières, musées, centres d'art, de La Poste, mairies, préfectures, ANPE, CPAM, etc. (urban poetry vision).
In_tensions est conçu pour être vu, lu, et dit, échangé furtivement, à la manière volatile propre à ces écrans. Le ton et la nature des phrases composant ce travail créé - c'est du moins mon pari - une sorte de bulle de proximité, un appel d'air de l'individuel au collectif. L'humour étant sans doute le meilleur des vecteurs pour nous mettre en sympathie, et peut-être, en résistance.
In_tensions est dédié à Stéphane Deutschmann.
(Source: Luc Dall’Armellina, 2005-2011)
Le poème au coeur de SeeVeniceAndDie a été écrit en 2005 pour "L'isola dei Poeti" - événement initié à l'occasion de la 51ème biennale de Venise - par Marco Nereo Rotelli sous le commissariat d'exposition d'Achille Bonito Oliva et Caterina Davinio pour Virtual Island. Ce poème est un genre de sabir ou autrement dit, un pérégrinisme. Mélange de plusieurs langues dans le même discours, SeeVeniceandDie met en scène, en médias, en programmes, ces actes de langages, à travers un automate de synthèse vocale qui lit dans sa langue naturelle, l'anglais et se risque aussi en français et en italien, deux langues qui me sont devenues - à moi - culturellement naturelles. Il a fallu "plier" quelque peu l'orthographe des mots pour faciliter l'interprétation de Vicky, voix synthétique féminine du système OSX, afin de parfaire sa prononciation. S'il a ici [ pour Internet ] la forme d'une vidéo de 8 minutes et 30 secondes, il est en fait un poème variable composé d'un prologue et trois actes, se joue au clavier et souris et répond aux sollicitations des lettres formant le mot "Venise" dans ses trois langues. Sa forme et sa taille le destinent plus à une édition DVD-Rom qu'à l'Internet. Le dispositif affiche le texte du poème dans ses langues naturelles (EN/FR/IT), en code binaire pour les experts, en code hexadécimal pour les hybrides et en code barre pour les consuméristes. (Source: Author's Description)
Robolettries is a collection of animated, dynamic poems presented via computer. Some of these works were created as homages to other artists/writers who work in the domain of computer science (Jean Pierre Balpe, Antoine Schmitt). Alexandre Gherban, the author of the Robolettries presents these poems in an observable transitory fashion. These poems can be classified under the “Lettrism” movement. In the art of this movement, letters and symbols are not considered as carriers of useful messages, but rather as artwork or as visual material. On the website, there is a list of works that follow the same programming classification. In these works, we see the programmed movement and behavior of the “fluctuating letters.” The name of the program comes from the word “robographe.” In total, Gherban created 9 Robolettries, each having a different title and therefore a different theme and variety of colors and movements. The reader is not expected to read the letters on the screen to understand words and phrases, but rather consider them as part of an image. The movement of the “fluctuating letters” is random, therefore the reader only needs to click on the name of the Robolettrie to start the program. Each robolettrie is characterized by different colors that are vibrant against the black screen. Some of the robolettries contain sound as well (Number 2: The homage to Jean Pierre Balpe and Number 3: Proto-écritures). The use of sound gives the poetry of the program an additional facet when compared to traditional poetry. Gherban describes these poems as small robots that explore the programmed functions of the letters. From a poetic or literary standpoint, it is difficult to decipher the meaning of each poem. We can analyze the colors, the sound and the movement to decipher meaning, but the overarching theme of the work is not always clear. Traditionally, poetic techniques are used to create movement, sound and color. Here, these three aspects are automated in the program. Because of this apparent lack of meaning, one can lose his or herself while viewing the programs, thus creating an impression of “déprise.” To more precisely analyze the Robolettries of Gherban, we can consider the 7 typology questions from Espen Aarseth. This program is dynamic, the scriptons are invariable because of the random function. The robolettries are indeterminate because of the randomization that changes the movements. The movement of the cursor by the reader does not have an effect on the movements in the program. The linking is therefore explicit. The perspective is impersonal because the user does not interact with the art. The role of the user is exploratory on the menu page, but becomes more observatory once inside each individual program. (Source: Erin Stigers and Sergio Encinas)
Les Robolettries est de la poésie qui est réalisée en programmation en utilisant l’ordinateur comme outil (actif, dynamique). Quelques unes de ces œuvres ont été créées comme des hommages aux autres artistes/écrivains qui travaillaient dans le domaine de l’informatique (Jean Pierre Balpe, Antoine Schmitt). Alexandre Gherban, l’auteur des robolettries, présente les poèmes dans une forme transitoire observable. Ces poèmes peuvent être classifiés sous le mouvement de "Lettrisme." Dans l’art de ce mouvement, les lettres et les symboles ne sont pas considérés comme porteurs des messages utiles, mais plutôt comme des objets d’art ou comme matériel visuel. Dans le site web, il y a une liste des œuvres qui suivent cette même classification de programmation, les robolettries en faisant partie. Ce programme met en scène de petits automates où l'on voit le comportement et les mouvements programmés des « lettres fluctuantes ». Le nom de ce programme vient du mot « robographe. » Au total, Gherban a créé 9 robolettries ; chacune présentant différents titres et donc un thème, une variété de couleur et un mouvement différent. Le lecteur n'est pas censé lire les lettres sur l'écran pour comprendre des mots ou des phrases, mais doit plutôt les considérer comme faisant partie d'une image. Le mouvement des « lettres fluctuantes » est aléatoire, donc le lecteur ne fait rien sauf cliquer sur le nom de la robolettrie pour commencer le programme. Chaque robolettrie est caractérisée par de couleurs différents qui sont vibrent sur l’écran noir. Quelques « Robolettries » sont aussi caractérisées par le son (Numéro 2 : (L’hommage à Jean Pierre Balpe) et Numéro 3 (proto-Ecritures)). L’usage du son donne à la poésie du programme un autre aspect à la poésie traditionnelle. Gherban décrit ses Robolettries comme des petits robots qui explorent les fonctions programmées des lettres. Du côté poétique et littéraire, c’est difficile trouver le sens de chaque poème. On peut analyser la couleur, le son et le mouvement pour donner à chacun un sens, mais le thème de l’œuvre entière n’est pas toujours clair. La poésie traditionnelle utilise l’emploi de techniques poétiques pour créer le mouvement, le son et la couleur ; ici, ces trois aspects sont automatisés par le programme. A cause de cet apparent manque de sens, on peut se perdre en regardant les œuvres ce qui crée chez le lecteur une impression de déprise. Pour préciser l’analyse des Robolettries de Gherban, on peut considérer les 7 questions de la typologie d’Aarseth. Ce programme est dynamique les scriptons sont invariables à cause de la fonction aléatoire. Les robolettries sont indéterminés à cause de la fonction aléatoire qui change le mouvement. Le mouvement du curseur de l’ordinateur par l’observateur n’a pas d’effet sur ces mouvements. Le chaînage dans ces programmes est alors explicite. La perspective est impersonnelle parce que l’utilisateur ne fait rien d’interactif. Le rôle de l’utilisateur est exploratoire à partir de la page menu, mais dans les programmes individuels, le rôle devient plus observateur. (Source: Erin Stigers et Sergio Encinas)
Inspired from “La Tragedia de Caldesa” by Joan Roís de Corella, Valencian writer of the 15th century. This contemporary tragedy is about the sad love story of four lives in the same night: Joan, Caldesa, Roís and Aurora suffer from love. In this work , the reader is not free to choose what he/she wants to read the moment he/she wants to read it. On the contrary, his/her position is that of a spectator flying over the characters lives and is able to know what happens but he/she cannot stop their lives or delay the events that are told. The digital format takes control (Source: Biblumliteraria).
Inspirada en “La Tragedia de Caldesa” de Joan Roís de Corella, escritor valenciano del siglo XV, esta contemporánea Tragedia relata la desventura amorosa de cuatro vidas en una misma noche. Joan, Caldesa, Roís y Aurora sufren de amores. En esta obra, el lector no es libre de elegir lo que puede leer, cuando le apetezca leerlo. Por el contrario, su posición es la de un espectador que está sobrevolando la vida de los personajes y es capaz de saber lo que les acontece, pero que no puede detener su vida ni retrasar los eventos que se narran. El formato digital toma el mando (Fuente: Biblumliteraria).
Transient self–portrait is an artistic research project questioning notions of reading and the electronic medium while exploring the possibilities of coding to interact with the work. I take as the point of departure two pivotal sonnets in Spanish literature that are normally studied alongside each other, En tanto que de rosa y azucena by Garcilaso de La Vega, a 16th Century Spanish poet, using Italian Renaissance verse forms and Mientras por competir con tu cabello by Luís de Gongora, a 17th Century Spanish poet from the Baroque period. Gongora's sonnet is a homage to Garcilaso's and the styles and the cultural aspects that appear on the sonnets are very different reflecting the attitudes from the Renaissance and the Baroque. This project is a response to some of the concepts that emerge from these sonnets; ephemerality of life, consummation, transient entities, fragility, which are also relevant to our age and the electronic world we inhabit. The creative process is that of producing, reflecting, programming and testing the medium to explore these notions in an electronic media society of dialogues with self-images, engaging the participant in a reading experience of ‘in’ and ‘out’ of language, via webcams and interactive aesthetics. The sonnets pass from different stages of written, visual, aural, language and code to dissipate into nothing.